Aujourd’hui envolez-vous avec nous à Carthagène en Colombie ! La Perle des Caraïbes… Rien que son nom résonne comme un bijou. Carthagène des Indes, c’est une ville côtière qui sent bon les embruns et le monoï et où les traces du passé se lisent dans les murs de cette ville fortifiée. Des maisons ultra-colorées, une mer à 30°C et des gens qui discutent dans tous les sens, on y est, on est bien à Carthagène !
Carthagène des Indes : la perle des Caraïbes
2 jours de visite (gratuite) à Medellín
Ça fait combien de temps que je n’ai rien publié sur le blog ? 3 mois non ? Bon, je pense que c’était le temps d’atterrir (dans tous les sens du terme). Car, pour remettre les choses dans l’ordre, ça y est, je suis rentrée en France ! Charles est, lui, resté en Colombie, le temps d’aller jusqu’au bout de son contrat de travail, quant à moi, je me suis envolée à la mi-août pour continuer mes études à Nantes.
Un désert et une mine de sel à une heure de Bogotá !
Une journée, c’est au moins le temps qu’il faut pour découvrir la ville de Nemocón. Situé à une heure de Bogotá en bus, ce petit village et ses deux principales attractions touristiques nous ont totalement charmés, surtout que nous étions quasiment les seuls touristes !
Tour express de Bogotá
Après notre escapade en Équateur, c’est en Colombie que l’on se retrouve, et plus précisément à Bogotá, la capitale. Pour vous resituez, c’est lorsque ma maman est venue nous voir aux mois de décembre et janvier que nous avons eu l’occasion de voyager tout autour de la Colombie afin de découvrir ensemble tous les recoins que je vous expose maintenant sur le blog. Une étape à Bogotá était pour nous indispensable, tant pour la découverte de la ville que pour faire la connaissance des cousins bogotanais de Charles. Nous avions d’ailleurs, tous les 2, eu l’occasion de nous y rendre en octobre dernier, notamment pour faire ma demande de visa.
Vivre la Semaine Sainte à Popayán (et Pâques sans chocolat !)
Petite pause, avant de vous raconter la suite de notre voyage à travers la Colombie et l’Equateur, pour vous faire part de ce que j’ai pu découvrir la semaine dernière lors de la Semaine Sainte ! En Colombie, c’est à Popayán qu’il faut être pour vivre l’une des plus belles processions. Alors, ni une ni deux, on est parti !
Pasto et la lagune de la Cocha
La ville de Pasto ne se résume pas à son carnaval, bien que ce soit l’événement qui fasse la fierté de ses habitants. Perchée à 2 527 m d’altitude sur le volcan Galeras (le plus actif de Colombie !), la ville est vraiment peuplée (près de 400 000 habitants, c’est plus que Nantes !) et cela surprend vue sa situation géographique. On a déambulé dans les rues de Pasto, les matins de cette semaine de carnaval, quand l’agitation n’était pas encore à son paroxysme. On y a découvert ses nombreux temples et églises, tous aussi beaux les uns que les autres. On a voulu visiter le Musée Taminango, la plus vieille maison de la ville, qui présente des objets anciens et d’artisanat local, mais on a trouvé porte close dû à cette semaine fériée pour le carnaval.
Carnaval de Pasto – Día de Blancos
Le Carnaval de Pasto est aussi marqué par « El Desfile Magno » du 6 janvier. C’est le « Jour des Blancs » et le jour pour admirer le travail des artistes du Carnaval. Les chars, les « grosses têtes » et les troupes de musiciens se mêlent et montrent la grande richesse culturelle de la ville de Pasto et de sa région.
Carnaval de Pasto – Día de Negros
S’il y a bien une seule date pour se rendre à Pasto, c’est la première semaine de janvier. Pourquoi ? Parce que c’est la fête toute la semaine !! C’est le moment de l’énorme « Carnaval de Negros y Blancos » (Carnaval des Noirs et Blancs) ! Celui-ci est inscrit au Patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO, une raison de plus pour le découvrir.
Rencontre avec les indigènes Guambianos à Silvia
A 60 km de Popayán, se situe Silvia, un village où les traditions perdurent. « La Suisse d’Amérique » porte plutôt bien son surnom, car avec son climat, sa rivière et ses montagnes, on s’y croirait presque. A quelques détails près tout de même… Ici, on troque les bretelles et les robes à corset typiquement suisses pour de longues jupes drapées mauves (pour les femmes comme pour les hommes) , une ruana (sorte de poncho), une écharpe à rayures et un chapeau. Les femmes portent aussi souvent de grands colliers blancs de perles fines. Car à Silvia, la majeure partie de la population fait partie du groupe indigène Guambiano et l’une de leurs forces est d’avoir su conserver une grande partie de leurs traditions, notamment celle de leur habit.
Les sources d’eau chaude de Coconuco
Prendre un bain d’eau thermale, se reposer, le temps d’une journée, dans un cadre de rêve… C’est ce qu’on a pu faire aux Termales AguaTibia de Coconuco, à une heure en voiture de Popayán.